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Pour commencer, qu’est-ce que la QVT ? Selon l’OMS (Organisation mondiale de la Santé), il s’agit d’un « état d’esprit caractérisé par une harmonie satisfaisante entre d’un côté, les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur et de l’autre, les contraintes et les possibilités du milieu de travail ». Des éléments qu’il faut donc prendre en compte pour motiver ses équipes pour qu’elles s’impliquent, s’intègrent et restent dans l’entreprise. L’environnement de travail, les locaux, l’ambiance, et d’un point de vue moins général le management, sont des facteurs clés à développer pour la QVT. Et en ce qui concerne la rémunération ? Il semblerait qu’elle soit devenue secondaire…
QVT : nouveau défi RH :
La QVT lance un nouveau défi au Chief Hapiness manager. Celui d’inclure le télétravail.
Séance de relaxation en visio, e-apéro, il a fallu trouver des moyens pour garder le lien lorsque nous avons été confrontés au 100% télétravail (confinements 2020). Le réseau ANACT nous a même soumis un kit pour ne pas oublier la QVT dans la pratique du télétravail. À découvrir ici.
Certes, l’environnement du domicile est relativement différent de celui du bureau. Mais le besoin est le même : rester concentré et productif.
L’effervescence de la collaboration à distance, propulsée par la crise du Covid-19 a poussé les entreprises à penser différemment. L’outil devenu indispensable, hormis notre boite mail, est devenu l’appli de visioconférence. À l’annonce du 1er confinement général en 2020, les différentes applis de visio ont connu un record historique avec 62 millions de téléchargements sur une semaine seulement.
Le besoin général des entreprises à équiper ses salariés en matériel s’est aussi vite fait sentir. L’enjeu est de taille puisque d’au-delà de leur fournir un matériel adapté pour rester joignable, il s’agit également de limiter la fatigue, le stress pouvant être générés par ces nouvelles méthodes de travail. C’est aussi ça la Qualité de vie au Travail.
Selon BureauxLocaux, 66% des professionnels souhaitent travailler sur des projets communs, pour avant tout retrouver le lien social.
Le télétravail est apprécié, mais le lien a manqué. Et malgré le bruit des open spaces, de nombreux collaborateurs souhaitent y revenir. Le bureau doit donc (re)devenir un lieu de vie. Il est vrai que les openspaces favorisent le contact, la collaboration, et la créativité. Et cela est extrêmement bénéfique pour l’entreprise et sa productivité.
Néanmoins, l’objectif est de ne pas perdre en productivité en revenant au bureau, déconcentré par le bruit auquel nous n’avons plus l’habitude.
Le retour des collaborateurs au bureau : les risques
Certes, le point négatif du télétravail, c’est l’isolement. Bien que certains considèrent cela comme un atout, voir un booster dans la productivité.
Mais pour le point négatif du retour au bureau, il s’agit des bruits de conversations ainsi que les sonneries de téléphone, considérés comme les plus intrusifs. Il n’est pas rare que cela ait été (et ce, bien avant l’engouement pour le télétravail), source de tension entre les équipes.
De même, 94% des Français pensent que le bruit a des effets négatifs sur la santé. Pour 8 travailleurs sur 10 (en poste), le bruit provoque fatigue, déconcentration, de maux de tête.
La QVT : Équipement et matériel
Pour cela, il faut être équipé du bon matériel, celui qui permettra d’assurer la collaboration comme en présentiel : le son.
Selon une étude réalisée par l’IFOP :
*Enquête IFOP/JNA “Comprendre la parole au travail”, septembre 2020, enquête IPSOS “Comprendre les expériences sonores”, avril 2020
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des actifs admettent avoir des difficultés de compréhension lors d’une collaboration à distance.
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des télétravailleurs reconnaissent avoir des difficultés de compréhension lors d’une visio
Et c’est quasiment autant pour une conversation téléphonique selon une étude IPSOS.
La raison principale : les bruits de fond à hauteur de 42% qui obligent à faire répéter son interlocuteur. On estime que nous perdons en moyenne trois jours par an, et par collaborateur, à faire répéter ce que nous ne sommes pas parvenus à entendre. Un chiffre non négligeable pour une PME suivant son effectif total.
L’AFNOR a donc mis en place une norme pour auditer le niveau de bruit. Les constructeurs de casques suivent scrupuleusement cette norme pour baser ses recherches et développement.
L’enjeu est donc là : équiper ses collaborateurs du bon outil pour qu’ils restent productifs, et pour qu’ils réduisent la fatigue cumulée et le stress.
Cela peut donc passer par un micro-casque. Mais il en existe de nombreux aujourd’hui.
La QVT optimisée grâce au Tilde Pro
On a choisi de vous parler du Tilde Pro d’Orosound, un micro-casque pour les professionnels et MADE IN FRANCE :
Orosound nous explique son analyse : « l’isolation passive consiste à utiliser un matériau pour isoler l’oreille de la source du bruit. L’exemple le plus connu étant les boules « Quies ». Cette méthode permet de bloquer essentiellement les fréquences les plus aiguës. » La marque distingue également l’annulation active du bruit comme « un procédé qui utilise la génération d’un « contre-bruit » pour créer du silence. »
Ses atouts ?
- Connexion fluide, plug and play aux outils de collaboration, ou aux téléphones fixes et portables.
- Contrôle actif du bruit : pour réduire le bruit ambiant et retrouver des conditions sonores de travail similaires à celles que l’on peut avoir en Télétravail.
- Confort : Vous pourrez choisir entre 2 types de coussinets : large (Tilde Pro C) ou small (Tilde Pro S).
Les bénéfices du Tilde Pro ?
Assurer le lien, et les échanges est primordial, et encore plus en télétravail pour éliminer les risques d’isolement. Les Tildes Pro vous permettront de préserver une communication saine et fluide avec ses équipes et ses partenaires.
On vous parle de la gamme TILDE® tout simplement parce qu’elle intègre aussi une nouvelle technologie permettant à l’utilisateur de réduire le bruit tout en préservant la communication.
La clé pour optimiser la QVT au travail (bureau ou télétravail) est la gamme Tilde Pro d’Orosound.
